Le métier d’assistante virtuelle repose sur l’idée d’un double bénéfice :
Rien d’étonnant donc à ce que ce métier soit en plein essor. La télésecrétaire (autre nom de l’assistante virtuelle) peut être soit un autoentrepreneur qui propose ses services sur le net, soit un salarié. Elle accomplit toutes les missions d’une secrétaire classique, mais elle le fait à distance. Elle peut être plus spécialement chargée de tâches spécifiques, comme la maintenance d’un site web, là aussi comme au bureau.
Souvent, clients ou patrons choisissent de communiquer par mails. D’autres préfèrent opter pour le téléphone. Dans certains cas, les patrons exigeront des heures de rendez-vous grâce à des sites du type Skype, pour pouvoir faire le point « en direct » avec celui ou celle qui est à son domicile. Et tout déplacement n’est quand même pas exclu pour un premier contact ou un événement exceptionnel.
Le métier demande une bonne connaissance de l’informatique et beaucoup de capacité d’adaptation. Et bien sûr de disposer d’un matériel fiable et performant chez soi.
Pour qu’il fonctionne, le système doit reposer sur un contrat clair. Le salarié ou l’autoentrepreneur doit savoir qu’il doit assumer la même charge de travail que s’il exerçait son activité dans un autre cadre. Et donc organiser son emploi du temps de façon stricte. Le client ou le patron doivent être conscients qu’ils ne peuvent tout demander ou payer des tarifs dérisoires. Sous ces deux conditions, il n’a à aucune raison que l’expansion actuelle de ce métier ne continue et ne s’amplifie au cours des années à venir.